Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (51) : Olga Et Les Routiers (3 : Une Nuit Bien Remplie).

De retour de vacances 2014 très « chaudes», nous nous sommes arrêtés sur une aire de repos, où Philippe m’offre à sept routiers en rut. La soirée a déjà été chaude et n’est pas encore terminée. Je sais bien alors que, pour les prochaines semaines, il va falloir être sage. Alors j’entends bien profiter au maximum de ce magnifique et inattendu cadeau de mon mari candauliste.

M’OFFRIR, ENCORE ET ENCORE

Marc revient vers moi. Depuis un moment, il a pris le contrôle de la soirée.

Philippe, en connaisseur, se contente de mater, d’encourager et lui a donné les pleins pouvoirs. Il a compris que je suis en de bonnes mains.

Marc me porte dans ses bras, m’amène sur la table, encadrée par les deux bancs.

Il m’allonge, ouvre mes cuisses : il est indispensable que je reste offerte, disponible.

• Bon, ma petite cochonne gourmande, tu vas encore être très gentille avec nous ?? Tu veux nous faire plaisir ?

• Oui bien sûr, Marc, je veux bien ;

• Alors c’est moi qui dirige, Philippe m’a dit que tu obéis très bien, il est d’accord pour qu’on te fasse tout. Il n’a mis qu’une seule condition : que tu prennes ton pied !

• C’est vrai, je cède si je me sens bien, tu voudrais quoi ?

• Je dirige, tu fais, c’est tout. Mais tu fais tout, tout de suite, quand je le dis. Il paraît que ça te plaît, ce genre de situations.

• D’accord, J’obéis.

• Branle-toi salope, caresse-toi pour nous. Fais-toi jouir, écarte ta chatte grande, à 2 mains, montre-nous, je veux te voir te plier, t’entendre miauler !

J’adore me masturber en présence de mâles, je sais que ça les rend fous de désir. Je débute une branlette lascive, impudique, libidineuse, lubrique. Tous les sept sont assis sur les deux bancs, de chaque côté de la table. Philippe n’en perd pas une miette, fasciné par un spectacle qu’il connait pourtant si bien.

Je titille mon clito, j’ouvre ma chatte à deux mains, je me caresse doucement, puis de plus en plus fort.

Je m’offre en spectacle.

Mes cuisses sont grandes ouvertes. Je suis offerte, impudique, avec ma main caressant sans relâche mon sexe.

J’accélère, je me lâche, je me prends au jeu. Mes mains vibrent sur mon clitoris et de ma bouche sortaient des petits gémissements.

Le silence règne, mes spectateurs matent mon corps et mes mouvements, en écoutant mon souffle. Je suis tendue à en exploser. Je resserre les cuisses. Mon corps se raidit.

Je retiens mon souffle jusqu'à rester plusieurs secondes en apnée ! Je sais que je vais jouir. Je m’excite comme une folle sur mon sexe et j'entends les petits clapotis caractéristiques d'une forte excitation.

Puis je jouis, je jouis, je jouis, le corps totalement tendu, tremblante, vibrante, dans un râle à la fois profond et aigue :

• ouiiiiiiiii !

• Lèche-toi les doigts ! Mouille aussi ton petit trou, je veux qu’il glisse comme ta chatte...

J’ai encore envie. J’obéis à Marc, à ses demandes. Je caresse mes seins, je les pince, chez moi c’est une des meilleures façons de m’exciter. Je me retourne sur le ventre, j’ouvre mon cul, me soulevant légèrement.

• Soulève-toi. Offre ton cul à lécher à chacun de nous.

Je sens les langues me fouiller, le cul et la moule. J’écarte mes fesses pour mieux offrir ma chatte, mais aussi mon trou de balle, qui ruissellent des salives.

• Bien, ma cochonne, très bien, c’est vrai que tu es vraiment bonne, on va faire mieux. Tu restes sur la table, tu te penches en avant, tu atts les bites, tu les suces encore, tu les connais bien, les autres voient bien ton cul de chatte en chaleur. Fais bien voir, sois plus putain ! Dis-moi que ça te plait. Olga dis-le, à haute voix, je veux t’entendre dire que tu aimes nous sucer !

• Oui, je veux vous sucer tous, j’adore ça.

• Tu aimes ces bites ?

• Oui, j’aime toutes vos bites !

• Elles sont bonnes ?

• Oui, très bonnes, je les aime en bouche j’aime les lécher, J’ai envie de les boire …

• C’est bien, ton mari a raison !!!! Tu es la plus grande des salopes !

• Plus encore, on va tirer au sort celui qui va t’enculer, chienne ! Pas moi, je suis trop gros.
Tu suceras les autres en même temps. Comme tout à l’heure.

• Oui je ne demande que votre plaisir, j’ai envie d’une bite dans le cul

ENCORE ET TOUJOURS FELLATRICE

Pour que la position soit bonne, je suis transportée à pleines mains, par tous, un peu à côté.

Tout est arrangé. Marc n’entend pas rester spectateur :

• A genoux Olga ! Penche toi comme tout à l’heure, Viens lécher mes couilles, suce les une par une, fais-moi bander ! Dis-moi des saloperies, que tu aimes ma bite, je vais me vider dans ta bouche puisque je peux pas t’enculer, je risquerai de t’estropier !

• Elle est grosse, elle me plaît, je veux la servir, la faire jouir, je vais vider tes couilles de vicieux jusqu’à la dernière goutte, je suis TA salope, TA chienne, Ta soumise, Tu me donnes à qui tu veux pour m’enculer, j’aime que tu commandes, je suis super heureuse.

• Suce !

Je laisse Marc se vider pleinement dans ma bouche, j’avale bien tout, je bois, je garde la bite au chaud.

Je vais continuer avec Miguel. Il a été le premier qui m’avait vue, au tout début de la soirée. Il se branle de me voir disponible pour lui, se met en état, derrière moi. Il m’att le cul, me remonte un peu, d’un seul coup, m’enfonce sa bite courte mais large dans le cul, direct, de suite, glisse jusqu’à la garde.

• Aides le, petite pute, bouge, enfouis le ! C’est bon ? Dis-nous !

• OUI, c’est bon, OUI, c’est chaud ! Oh j’avais envie d’être prise par là depuis le début de la soirée !

• Bouge je te dis, montre comme tu aimes !! Enfile-toi bien dessus. Miguel, reste comme ça ! Laisses là faire ! Je veux voir comment cette débauchée aime ta bite dans son cul. Elle va te faire jouir.

J’entreprends une danse des fesses qui serrent la queue de Miguel, je fais les mouvements autour de sa bite, je serre, je le branle avec mon cul.

Les hommes applaudissent, ils rient, se congratulent, la Française continue à tenir toutes ses promesses.


C’est au tour de José.

• José, Remplis là, Olga demandes lui !!

• OUI, José, allez-y, je veux vous sentir jouir, José, encule-moi maintenant, maintenant …

Il gicle dans mon cul, se soulage, continue à me tenir, pour bien décharger. Il grogne.

• Les gars, faites-vous sucer, maintenant elle a envie de boire, je le sens !

Je demande :
• Une autre, Venez, donnez-moi vos bites, je veux boire vos jus, Marc traduis !

• T’inquiète, ils ont compris ce que tu veux !

Je suis excitée à outrance. Je sens tout mon corps s'embraser. J'engouffre une queue en m'écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n'en avale que la moitié. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ses couilles frétillent sous la pression de ma langue.

Miguel n’a toujours pas joui. Je lui prends la queue d'une main, et de l'autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l'avoir bien humecté de ma salive. Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l'extrême qui s'offre à moi. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens.

Je leur demande qu’ils me giclent dans la bouche. Alors, je me mets à pomper en cadence. Je m'enfonce la queue le plus profondément possible dans le gosier. Je sens la queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Jeu de coulisse. Je l'enfonce jusqu'à l'. Elle m'excite ; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe.

Le mec gémit mais ne jouit toujours pas.

Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C'est ça que je veux. Alors, je prends mes deux mains ; l'une branlant sur toute la longueur de la bite, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses.
Je le veux dans ma bouche. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste plus. Il lâche un long cri sonore et décharge dans ma bouche.

Une giclée d'une pression inouïe m'inonde l'arrière gorge. Je tousse. Je pleure ; mais de joie. Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme.

L’une après l’autre, les queues se vident dans ma bouche, sans aucune retenue.

« Mes hommes » sont comblés, je les gâte avec amour, ma soumission est parfaite. Je dépasse tous leurs souhaits.


PAR LA VOIE ETROITE

Marc continue à être l’ordonnateur de cette nuit de partouze.

• Tu prétends obéir, il faut une autre preuve ! Ton cul est bien ouvert, tous doivent en profiter ! Fernando, Arnaldo, amigos, venez enculer ma cochonne, elle est à vous. Elle ne me refuse plus rien.

Je suis douce, souriante, soumise à ce mâle :

• Oui, Marc, mais doucement, s’il te plaît.

• On verra ça ! Bien sûr, ma pute, sois vicieuse, cajole moi ces bites, ils doivent plus avoir grand-chose... Tu as tout vidé.

La suite sera surréaliste. Au lieu d’être sur le banc, cul offert, Marc me fait mettre debout, penchée en avant, cinq routiers me retiennent.

Fernando plonge son gland à l’entrée. Ils me poussent vers lui. Je rentre moi-même la bite avec ma main et l’amène au fond de mon cul. Elle me remplit.

Comme pour José tout à l’heure, je serre, je le branle. Ca glisse tout seul. Pendant dix minutes, il me sosomise.

En même temps, j’ai les mains libres, je me caresse fort la chatte, je m’excite, je lèche les ventres et les poitrines de ces vicieux, criant mon plaisir.

• Tu vois, c’est bon les queues de routiers, Dis-le encore, petite putain !

• OUI, je jouis ce soir, vous êtes les meilleurs, j’aime ça, dis leur... Un vrai cadeau je suis super contente... Et toi, Philippe, mon chéri, ça te plait ?

• Tu sais que j’adore ça ! Ce soir, je suis servi ! Allez-y, les gars, vous la rendez heureuse et moi aussi !

A peine dit, la bite de Fernando gonfle, je la sens bien, il se vide, rageur, agrippé à mes hanches, me fouille le cul de gauche à droite.

Il embrasse, me mord le dos et sort.

• Arnaldo vas- y !! Toi tu la fais hurler, sois brutal, pas de précaution, cette chienne adore ça, elle l’a dit, elle veut être déchirée devant nous, tu l’épuises. Après toi, elle doit être crevée.

• J’ai entendu, je suis prête. Arnaldo, casse-moi le cul !

Arnaldo entre sans prévenir, s’enfonce jusqu’à la garde, me fait mal, c’est lui qui a la une longue bite. Il va et vient, ses lourdes couilles tapent sur mes fesses.

Il glisse, lui aussi est chez lui, dans mon cul.

Je sens tous ses coups de butoir. Il me prend sans aucune douceur.

Il tient mes seins, pince les tétons, collé contre mon dos. Il ouvre bien mes fesses, sa bite est au fond, dans mon cul, ça me chauffe, je mouille devant.

• Pedro, José, elle a besoin d’une bonne fessée pour accélérer, je la sens mollir !. Olga, place-toi, comme il faut. Garde Arnaldo dans le cul, donne tes fesses, je veux rien entendre sinon dire que tu aimes...toute façon ton mari l’a dit

Je suis penchée en avant, une bite dans le derrière, trois devant la bouche, soutenue par mes vicieux, Marc en maître de cérémonie, mon mari à deux pas.


Pedro et José me tapent sur les fesses à tour de rôle. De petites claques, sèches, des caresses, des claques plus fortes. J’obéis, j’essaie d’éviter, ce qui fait bouger mon cul plus encore.

• On change ! Pas de raison, tu es trop bonne Olga, trop bonne, vraiment tu me plais. Miguel, Franco, Fernand, à votre tour, une bonne fessée pour punir cette traînée !

Les trois hommes, ensemble, me claquent.

J’atteins le sommet de ma jouissance avec ces routiers, mûrs et rugueux, Comme une folle, j’astique mon clito, j’entre les doigts dans ma chatte, je suce encore ceux qui sont devant moi.

Je jouis, j’explose, je tremble. Je m’écroule littéralement, repue, brisée par le plaisir, à la limite de la perte de connaissance. Avant, Arnaldo s’est soulagé copieusement dans mon cul, à grands jets.

Philippe me récupère. J’étais particulièrement « arrangée » : le visage, les cheveux, les seins couverts de sperme, sans parler de ce qui coulait de ma chatte et de mon anus. Je devais ressembler à Messaline après une nuit de débauche à Suburre, dans les bas-fonds de Rome !

Philippe n’est pourtant pas rebuté.

Il me prend dans ses bras et m’embrasse longuement, sous les applaudissements de mes amants d’un soir.

• Je ne te dégoute pas mon chéri ? Tu as vu dans quel état je me suis mise ? Je dois sentir la putain. D’ailleurs, j’en suis une, je me suis comportée ainsi ce soir.

• Non tu n’es pas une putain. Tu es ma femme et je t’aime. Je suis fier de toi, tu t’es surpassée ce soir.

• Je t’aime, Philippe, tu me rends heureuse, tu sais !

• Les gars, vous avez de l’eau en quantité suffisante ? Nous avons encore plusieurs heures de route à faire.

Je me lave grâce à l’eau dont disposent ces voyageurs bien organisés. Je suis à nouveau propre, présentable mais totalement épuisée, après avoir enchainé les orgasmes.

Mes « hommes » se sont rafraîchis eux aussi. Ils sont heureux.

Ils parlent de moi, ma connaissance de l’Italien, du Portugais, de l’Espagnol me permet de comprendre ce qu’ils disent.

Ils éclatent de rire, ils font des signes, disent des mots comme baiser, sucer.

Je suis assise dans l’herbe, sur une serviette, toujours totalement nue, en lotus, j’attends.

Mes sept routiers se placent en cercle autour de moi. Très près, pour me sentir encore.

J’aime être là, je me sens toujours convoitée. Marc traduit, la conversation tourne aux commentaires sur la soirée. Ils disent leur contentement d’avoir rencontré une femme comme moi, si gentille, si bonne avec eux. Ils ont aimé mon cul, ma chatte, ma bouche, mes seins, ma peau douce.

Certains me caressent encore un peu, la main entre mes cuisses, j’ouvre, j’accueille...Je caresse les bites flasques, les ventres, leurs cuisses, passe la main sous les couilles.

Je les flatte encore tendrement. Je renouvelle ma joie d’avoir goûté leurs bites et baisé avec eux. J’ai aimé leur foutre. Ils m’applaudissent et m’embrassent. Je les embrasse tous dans le cou, un bisou sur les lèvres, un petit coup de langue. Je dis le merveilleux plaisir que j’ai eu, ce cadeau de mon mari pour eux et pour moi.

Philippe est applaudi. C’est pour lui que j’ai tout accepté ce soir-là. Je sais que, lui aussi, mon mari candauliste adoré, a apprécié tout particulièrement cette nuit qu’il m’a offerte.

Je suis heureuse qu’à aucun moment il ne lui a été manqué de respect ce soir-là. Personne ne s’est permis le moindre jugement à son encontre. C’est assez rare pour être souligné.

Je me lève et je pars nue vers la voiture…

• Bye, mes gentils cochons, bon souvenir !

Nous repartons pour un trajet de nuit. Je fais le voyage jusque chez nous entièrement nue, profondément endormie, morte de plaisir et de fatigue.

Je sais bien que mon mari ralentit près des camions, surtout dans les zones éclairées, les stations-services….

A 7 h du matin je rentre chez nous, ayant remis ma robe… Repue !! J’ai dormi une bonne partie de la journée, après une bonne douche.

Voilà une soirée qui restera dans les annales de notre couple candauliste !

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